Notre Equipe

Chloé

Marie-Claude

Isabelle

Cette équipe est composée de travailleurs sociaux diplômés d’Etat. Elles sont formées à l’accompagnement des femmes victimes de violences, à l’écoute, aux addictions, à la mise à l’abri, au soutien à la parentalité, à l’accès aux droits, à l’écoute des enfants.
Elles vous apporteront une attention bienveillante, dans le respect de vos choix et sans jugement.
Le fonctionnement
L’ouverture du lieu est réalisée sous forme de permanences ouvertes à toutes, afin de favoriser l’échange entre femmes, partager les expériences et sortir de l’isolement.
Si vous souhaitez dans un premier temps être reçue seule, dans un souci de confidentialité, il est possible de prendre rendez-vous (à l’accueil ou à proximité de votre domicile et sur tout le territoire nivernais). Cela permettra également à l’équipe de faire votre connaissance, de pouvoir comprendre au mieux votre situation afin de vous apporter les meilleurs conseils, une écoute active et un soutien personnalisé. Ces entretiens sont confidentiels.
Vous trouverez des conseils et des outils :
– Un point informatique et téléphonique vous permettant d’effectuer certaines démarches et trouver des contacts utiles (avocats, psychologues…)
– Un local pour stocker vos effets personnels (vêtements, documents…)
– La mise à disposition de formulaires pour éviter de multiplier vos déplacements dans les différentes administrations (demande de logement, aide juridictionnelle, changement de situation…)
– Des informations concernant les partenaires spécifiques aux violences conjugales.
– La possibilité de prise en charge des frais médicaux (certificats médicaux) et déplacements (bus, train…) selon la situation.
Vous seule pouvez évoquer votre situation avec d’autres femmes si vous le désirez ou en ressentez le besoin.
Parce qu’il est souvent difficile d’en parler avec eux, une attention particulière peut également être apportée à vos enfants.

L’équipe de DECID’L ira à votre rythme. Vous seule choisirez de revenir ou non à l’accueil de jour.

Notre réseau
DECID’L mobilise énormément de partenaires locaux.
L’accueil de jour est identifié dans un contexte territorial et travaille de manière étroite avec :
– Les associations d’aides : CIDFF, ANDAVI, SIAO, ANPAA, AFED, ALMA 58, services de médiation familiale
– Les sites d’actions sociales de secteur du Conseil Départemental de la Nièvre ainsi que le service PMI
– Le CMP Vauban
– L’hôpital de Nevers
– La police ou la gendarmerie
– Les médecins généralistes
– Les centres sociaux, mairie, CCAS
– Le CCAS de Nevers
– Le Collectif solidarité
– Les structures d’hébergements
– Etc
Nos valeurs
– Non discrimination : pas de distinction des personnes du fait de leur appartenance ethnique ou sociale, de leur valeur ou de leur mérite
– Respect : sentiment qui incite à traiter l’autre avec égards et considérations
– Convivialité : capacité de la structure à favoriser la tolérance et les échanges réciproques dans un cadre accueillant et chaleureux
– Empathie : compréhension des sentiments et des émotions des personnes
– Non abandon : le principe de non-abandon repose sur une éthique sociale et un positionnement d’accompagnement : quelques soient les difficultés des personnes, le principe est de toujours penser à leur mieux-être au-delà de notre intervention
Ils nous soutiennent
– Ministère des Familles, de l’Enfance et des Droits des Femmes
– Préfecture de la région Bourgogne – Franche-Comté
– Préfecture de la Nièvre www.nievre.gouv.fr
– Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (Acsé)
– Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD – www.interieur.gouv.fr)
– Direction Départementale de la Cohésion Sociale et de la Protection des Populations de la Nièvre

Vous souhaitez l'aider ?
Sandrine, 34 ans
« En poussant la porte de DECID’L, ma première peur était celle de ne pas être crue… Mon mari m’a tellement répété que j’étais folle, que c’était de ma faute et le pire c’est que je commençais à le croire….même si c’était difficile pour moi, j’ai pu raconter mon histoire et enfin…on m’a crue… ».
Bénédicte, 34 ans
« Lorsque j’ai dit que j’avais toujours des sentiments pour lui, on ne m’a pas dévisagée du regard, on ne m’a pas jugée comme j’ai pu le ressentir auparavant, du coup j’ai pu en parler librement… ».